La fac après la fac
Rester à la fac en juin pourrait être d'un ennui. Mais c'est l'occasion de découvrir son campus sous un autre jour.
Voilà, c'est fini
Mi-mai : les derniers partiels sonnent le glas de l'année. Tout est à remballer, jusqu'à la rentrée.
Pensez printemps, étudiants !
À l’arrivée des beaux jours, le campus s’orne de milles couleurs pour fêter la fin d’année. Puis les étudiants partent… jusqu’à la rentrée.
Le grand déballage.
Un mois après les partiels, le couperet tombe, avec la publication des résultats du premier semestre. Les calculs commencent.
On change tout, et on recommence.
Les partiels finis, l’heure est déjà venue de reprendre les cours, et d’enchaîner avec le deuxième semestre. Et de tout recommencer.
L’heure des partiels
C’est le passage obligé à l’université : les partiels sont le moment damné, redouté, où tout peut se jouer. De quoi bien faire stresser.
Fin de saison sur Bordeaux
En décembre, les journées raccourcissent… et le semestre se finit. Trois mois après la rentrée, l’heure est déjà aux au-revoir.
Ça se vide.
Un mois après la rentrée, les classes de L1 se vident déjà. L’Université compte déjà ses disparus.
Tu seras bizut, mon fils.
Je ne pensais pas à avoir à subir un week-end d’intégration à la fac. J’ai été agréablement surpris.
La fac est multiculturelle
Arriver à la fac, c’est réaliser que l’Université est le lieu des savoirs… mais aussi des rencontres. Des étudiants de toutes les cultures.
Ne pas être à sa place
Problèmes d’emploi du temps, groupes de classe qui volent, profs qui changent entre deux cours : la première semaine à la fac fait douter.
Être jeté dans le bain
Groupe de classe, habitudes à prendre, numéros des salles : tout est à apprendre, lors du premier jour de cours à la faculté.
Le début d’une nouvelle ère.
Les rentrées ne sont jamais ordinaires, mais celle-ci est unique : mon premier jour à l’université de Bordeaux.